Bienvenue en Dauphiné

A propos du Centre Généalogique du Dauphiné (C.G.D.)

Association de généalogistes amateurs, descendants d’ancêtres dauphinois, passionnés et portant, sans but lucratif (loi de 1901), les valeurs d’entraide bénévole. Créé il y a 47 ans, en 1977, le CGD compte, en 2023, 1362 membres actifs.

Les 5 points forts du C.G.D.

Une communauté dynamique de généalogistes bénévoles, passionnés par leur quête d’ancêtres isérois et toujours prompts à la convivialité, au conseil et à l’entraide.

Renseignements, conseils, formations, conférences, recherches dans nos relevés d’actes ou échanges entre membres ont lieu régulièrement tant au siège de Grenoble que dans l’un des 12 groupes locaux répartis dans le département de l’Isère ainsi que dans une antenne pour Paris et la région parisienne.

Des bénévoles donnent des conseils, aider dans vos recherches, photographier des documents aux archives départementales, etc…

Les groupes et antennes du CGD

Une base informatique unique de relevés systématiques d’actes isérois (registres paroissiaux, état civil, actes notariés, relevés de cimetières, actes notariés, militaires…)
Vingt deux ans après son lancement, notre base de données informatique est riche de plus de 5,350 millions d’actes numérisés qui peuvent être recherchés aisément contrairement aux actes originaux qui sont souvent manuscrits et disponibles sous forme de photos et sont souvent difficiles à déchiffrer

Plus de 1000 bénévoles ont déjà participé à la constitution de cette base et elle s’enrichit encore chaque jour du travail de chacun pour le bénéfice de tous.

L’ensemble de cette base est consultable par nos adhérents :

au siège du CGD, dans ses groupes locaux et antennes ainsi que 24h/24 7j/7 depuis leur ordinateur personnel (ou tablette, smartphone…) sur ce site intenet,

  • via le puissant programme de recherche “GenEric” sur les bases iséroises. Ce programme, développé pour le CGD, permet à tous les adhérents à jour de leur cotisation d’effectuer des recherches, d’accéder à un forum, de s’abonner aux nouveaux relevés. Tout cela sur l’ensemble des bases du CGD (BMS et NMD, tombes, naissances et/ou décès de l’NSEE, notaires, derniers relevés…). Mise à jour en temps réel.
  • via “GeneaBank” où le CGD dépose une version simplifiée des données iséroises: BMS & NMD, contrats de mariages & testaments, sépultures & décès. Ce système permet la consultation par les adhérents d’autres associations participantes Les recherches sont plus “basiques” que via GenEric. Mise à jour annuelle.
  • via le système “GeneaBank” donne également accès aux données des autres associations participantes (plus de 113 millions d’actes en janvier 2024, relevés dans toute la France – et au delà – par 100 associations. Les données cherchées sont variables selon les associations. La recherche se fait en “dépensant” des points pour chaque acte. Chaque adhérent possède un fond trimestriel de 500 points.

De nouveaux dépouillements sont en cours ou dans les cartons :

  • Signalons ains, le projet “Bleuets 38“, démarré en 2013, pour établir, pour chacun des 18000 « Poilus » isérois tombés pour la France durant la Première Guerre mondiale, une fiche individuelle retraçant le plus précisément son parcours civil puis militaire jusqu’à son décès.
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Des cours d’initiation à la généalogie pour découvrir les ressources de recherches.

Des cours de paléographie pour la lecture des actes anciens.

Un important fonds documentaire historique et généalogique et des publications:

  1. 13 cahiers dauphinois de généalogie présentant 841 ascendances publiées par nos adhérents,
  2. divers ouvrages d’histoire et de généalogie écrits par nos membres ou par des donateurs,
  3. relevés papiers et listes de patronymes,
  4. revues…

Et vous en trouverez surement d’autres…

La naissance du C.G.D. en 1977

FSFGHS

En 1968, la Fédération des Sociétés Françaises de Généalogie, d’Héraldique et de Sigillographie (FSFGHS), aujourd’hui Fédération Française de Généalogie (FFG), reconnue d’utilité publique en 2017, voit le jour à Paris.

Un demi-siècle plus tard, l’engouement pour ces recherches est devenu un véritable particularisme français avec plus de 10 millions de pratiquants.

FFG-logo
FFG

En 1973, le Centre d’Études Généalogiques Rhône-Alpes-Bourgogne (CEGRAB) est créé à Lyon. Il couvre les régions Rhône-Alpes, Bourgogne et Franche-Comté, soit 16 départements. En 1976, devant son essor grandissant il devient le Centre d’Etudes Généalogiques Rhône-Alpes (CEGRA),  abandonnant la Bourgogne et la Franche-Comté pour se se consacrer uniquement à la région Rhône-Alpes.

L’engouement pour la généalogie est tel qu’en 1977, dans les départements sont créés de plus petites structures, dont certaines vont elles-mêmes donner naissances à des associations plus petites. Le CEGRA continuant d’exister comme lien et union régionale de certaines de ces associations fédérées au sein de la FFG.

Assocuarions du CEGRA

C’est ainsi que naissent au même moment :

Les présidents du C.G.D.

1977

Durand-Evrard
Françoise DURAND-EVRARD

1978-1991

Allier
Robert ALLIER

1992-2001

Levebvre
François LEFEBVRE

2002-2005

Carrier
Jean-Pierre CARRIER

2006-2017

Scarpelli
Claude SCARPELLI

2018-2021

BENAC Evelyne 5
Evelyne BENAC

Le C.G.D. en bref aujourd'hui

Depuis les premiers statuts déposés à la Préfecture de l’Isère le 18 octobre 1977, plus de 6800 généalogistes se sont affilés au Centre Généalogique du Dauphiné et plus de 1000 d’entre eux ont contribué à la structuration et aux travaux de relevés d’actes. 8 des 39 membres fondateurs y sont restés affiliés sans discontinuer et 420 membres y sont restés plus de 20 ans dont 200 sont toujours adhérents

  • Le CGD a vu 7700 généalogistes depuis le début
  • et compte en 2023 1362 adhérents
  • 3e/plus de 150
    associations affiliées à la FFG,
  • +1000 adhérents ont contribué aux relevés de +5 350 000 d’actes

Pour en connaître plus sur l’histoire du CGD vous pouvez consulter la brochure émise en septembre 2017 pour commémorer les 40 ans du CGD

Historique du Dauphiné et de l'Isère

Le Dauphiné

Sous les Romains, le Dauphiné fait partie de l’ancienne Provence. Par la suite il devient une principauté du Saint-Empire Romain Germanique sous l’autorité des comtes d’Albon, qui prennent le titre de dauphins.

C’est en 1349, au début de la guerre de Cent ans, que le dauphin Humbert, ruiné et sans descendant, cède le Dauphiné au fils aîné du roi de France et le titre de “Dauphin” que vont porter tous les fils aînés.

Au début, il conserve une certaine autonomie qu’il perd peu à pau pour devenir une province à part entière du Royaume de France. Sous l’ancien régime. Grenoble est le siège du parlement et de l’intendance de Dauphiné.

Le Dauphiné s’étend alors à l’est du Rhône des portes de Lyon jusqu’à celles d’Orange. Il est délimité au sud par le Provence, et ses frontières de l’est, situées dans les montagnes des Alpes fluctuent au gré des guerres avec la Savoie et le Piémont.

Delphinatus vulgo Dauphiné avec ses confins des Pais et provinces voisines / par Iean de Beins, geographe et ingenieur du Roy. Source Gallica.
Mes départements après la Révolution. Source Wikipédia.

Le département de l’Isère

En 1788, c’est à Grenoble, par la journée des Tuiles, que débutent les événements originels de la Révolution Française

En 1790, les anciennes structures administratives sont abolies et les départements sont créés. Le Dauphiné est divisé en trois départements: l’Isère, la Drôme et les Hautes Alpes. Par la suite, au cours des XIXe et XXe siècles, certaines communes sont rattachée au département du Rhône.

Grenoble est le chef-lieu du département.